Des points de vue multiples pour un seul objectif : la RESILIENCE
Cette page propose trois vidéos réalisées pour la boîte à outils du projet RESILIENCE. Chacun de ces documentaires donne une idée générale de chaque étude de cas et montre certains des dilemmes et des points clés qui contribuent à renforcer la résilience des communautés locales.
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Kalimantan (Indonésie) : des choix ambitieux dans un environnement changeant
Depuis l’échec du projet Mega Rice au Kalimantan, les communautés luttent pour gagner leur vie dans les tourbières infertiles du Kalimantan central. En raison d’une mauvaise gestion, de règlementations floues et de mécanismes traditionnels de survie non durables, des feux de tourbe récurrents menacent les moyens d’existence des agriculteurs locaux, contribuant aux problèmes de santé et au réchauffement global en raison des émissions de CO2. Comment les communautés locales peuvent-elles alors changer la situation en protégeant l’environnement tout en gagnant leur vie de façon résiliente et durable ?
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Pando (Bolivie) : des solutions ambitieuses dans un environnement changeant
Des inondations menacent les moyens d’existence des communautés qui sont installées le long de la rivière à Pando. Traditionnellement, les communautés gagnent leur vie grâce aux terres fertiles, mais en raison du changement climatique et d’inondations à la fois plus importantes et plus fréquentes, leur résilience est mise à rude épreuve. Leur vulnérabilité et leur existence dépendent de la rivière. Plusieurs acteurs proposent des solutions, des agendas et des objectifs différents, tous dans l’intérêt de la communauté en vue d’atteindre la résilience, mais comment peuvent-ils fonctionner ensemble ?
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Borana (Ethiopie) : défier le future dans un environnement changement
Les pasteurs du Borana font paître leurs troupeaux depuis des siècles. Des sécheresses de plus en plus fréquentes en raison du changement climatique, du surpâturage et d’une mauvaise gestion mettent à mal leurs mécanismes traditionnels de survie. Le déstockage commercial pourrait être une solution ponctuelle pour réduire l’impact d’une sécheresse mais toutes les parties prenantes peuvent-elles faire passer l’intérêt général avant leur intérêt propre ? Les bergers éleveurs peuvent-ils faire fi de leurs traditions ? Le monde des bailleurs peut-il être assez flexible pour satisfaire les besoins réels ?